Agri-Éthique réalise une année 2024 record !

Avec un chiffre d’affaires de ventes consommateurs de 911 millions d’euros, une croissance de 75 % et plus de 1 050 références produits, Agri-Éthique, premier label de commerce équitable français, confirme l’excellence de son modèle. Le commerce équitable made in France n’est plus une alternative : il est devenu une évidence pour les marques comme pour les consommateurs. Le cœur du modèle Agri-Éthique repose sur des contrats pluriannuels entre tous les acteurs d’une filière, avec une durée minimale de trois ans. Cette approche permet de sécuriser les revenus des agriculteurs, tout en assurant aux marques un approvisionnement stable et de qualité. Contrairement aux marchés dépendants des fluctuations internationales, les prix garantissent la juste rémunération des agriculteurs et protègent le pouvoir d’achat des consommateurs. C’est cette solidité qui séduit aujourd’hui les grandes marques françaises. Plusieurs d’entre elles, comme Brets, Labeyrie ou encore La Boulangère, ont d’ailleurs décidé de faire basculer l’intégralité de leur production concernée sous contrat Agri-Éthique. Ce choix fort illustre une prise de conscience des industriels, mais aussi une volonté de s’inscrire durablement dans une consommation responsable. Ce choix fort illustre une prise de conscience des marques françaises. « Chez Agri-Éthique, on ne parle pas seulement de consommation responsable, on parle de stabilité financière et de vision long terme. Nos contrats sécurisent les revenus, structurent les filières et permettent aux agriculteurs comme aux marques de se projeter. C’est cette rigueur qui nous distingue : une contractualisation exigeante de tous les maillons de la chaine à un niveau élevé, car une filière ne peut pas être durable sans commerce équitable. On est en passe d’atteindre le milliard d’euros, preuve qu’un modèle équitable, clair et engagé peut devenir un standard. C’est notre conviction : une filière durable commence par un cadre clair et équitable. Agri-Éthique est devenue une réponse systémique aux enjeux de valeur, de production, et de consommation », explique Ludovic Brindejonc, Directeur d’Agri-Éthique.